J’ai choisi de faire ATIAM pour continuer à lier sciences et musique, ce que j’ai toujours voulu faire depuis le début de mes études. Pendant ce master, j’ai découvert le machine learning, un domaine qui m’a particulièrement intéressée et que j’ai eu envie d’explorer davantage.
Cette formation m’a permis de consolider mes compétences en informatique, notamment en machine learning, ainsi qu’en traitement du signal audio, ce qui m’a donné les bases nécessaires pour approfondir ces domaines dans ma thèse à l’Ircam, où je travaille actuellement sur les deep fakes de voix.
Ce fut une année extrêmement enrichissante, avec une très bonne ambiance de (petite) promotion, qui donne tous les outils pour poursuivre vers la recherche dans les domaines liés à l’audio et à la musique et qui donne goût au travail en équipe.

J’ai choisi de faire ATIAM car j’étais profondément intéressé par le lien entre musique et science. Par ailleurs, j’ai vraiment beaucoup apprécié le fait qu’il y ait de la psycho-acoustique, ainsi que du traitement du signal et des pratiques compositionnelles dans le cursus. Ceci m’a permis d’être exposé à un grand nombre de domaines autour de la musique et du son que j’ai pu, par la suite, appliquer largement dans mes recherches. 
 
Cette formation m’a beaucoup apporté, en termes scientifiques et en culture générale autour de la musique et du son. Par ailleurs, cette formation m’a aussi apporté beaucoup de curiosité, au point où je me suis tourné par la suite vers un domaine qui n’était pas celui que j’avais envisagé, spécifiquement, je me suis intéressé après le master aux mécanismes cognitifs impliqués dans la perception du son. J’en garde un incroyable souvenir. 
 
Après le master, je me suis orienté vers une thèse en neurosciences cognitives. J’ai travaillé notamment sur la perception des émotions dans la voix, dans l’équipe Perception et Design Sonore de l’Ircam. J’ai ensuite fait un postdoctorat à l’Université de Lund en Suède en sciences cognitives. En 2022, j’ai obtenu une bourse Marie Curie pour travailler sur les interactions sociales humaines à l’université de Glasgow, où j’ai désormais un poste permanent. 

J’ai choisi de faire ATIAM pour appliquer ma formation en physique au domaine de l’audio et notamment de la musique qui est ma passion. Par ailleurs j’avais beaucoup apprécié mes cours de traitement du signal audio en M1 et j’avais envie de creuser ce sujet-là ainsi que de découvrir le machine learning.
 
Cette formation m’a permis de pousser mes connaissances en acoustique pour la musique mais aussi de faire la transition vers le traitement du signal et le deep learning qui sont davantage ce que je fais maintenant en thèse à Télécom Paris.
 
Cela a été une année très enrichissante, avec une excellente ambiance de promotion, qui donne toutes les clefs pour continuer vers la recherche dans les domaines liés à l’audio et la musique. 

Ayant un parcours d’ingénieur et étant passionné de musique, le master ATIAM était une évidence pour combiner les 2 et mettre mes compétences scientifiques au service du son. J’avais regardé d’autres masters en France autour de l’acoustique et mon choix pour ATIAM vient de la réputation de ce master, du lieu à Paris et des partenariats tissés avec l’Ircam, Telecom Paris et l’UPMC (aujourd’hui Sorbonne Université). Pour finir, le master ouvre aussi au bon réseau pour continuer dans la recherche en thèse de doctorat publique/privée ou des postes en entreprise.
 
J’ai le souvenir d’une promotion soudée avec une super ambiance et des cours intéressants par des personnes passionnées. La formation est relativement courte et donc parfois intense dans les moments de partiels ou rendu de projets, surtout quand on veut garder des activités musicales à côté.
ATIAM m’a apporté les connaissances générales et fondamentales pour poursuivre dans le domaine des sciences appliquées à la musique. Ces connaissances sont étayées par le stage qu’on poursuit dans un domaine plus ciblé, vers lequel on souhaite se diriger.
 
Après le master, je me suis orienté vers la recherche en traitement du signal, tout d’abord avec un doctorat en analyse de signaux audio à l’UPMC (aujourd’hui Sorbonne Université) puis un postdoctorat en traitement de l’image et modélisation de visages à l’Université d’York.

Sorti d’un M2 en acoustique physique un peu trop physique, je cherchais à allier acoustique et musique.
J’ai vraiment apprécié le coté pluridisciplinaire de la formation incluant notamment perception sonore et musicologie, ainsi que l’ambiance de travail au sous-sol de l’Ircam au milieu des chercheurs.
Je me suis orienté vers la recherche académique en lutherie numérique, puis en bioacoustique, et enfin dans l’analyse audio pour les enquêtes et la prévention des accidents aériens.

Je me suis orientée vers ATIAM car j’avais le désir de travailler dans le domaine de la recherche scientifique pour la création musicale.
 
ATIAM m’a apporté toutes les connaissances dans le domaine purement scientifique, il ne me restait ensuite plus qu’à mêler ça avec la pratique créative de la musique. C’est pourquoi j’ai poursuivi mes études en recherche-création pour aujourd’hui travailler comme RIM au Conservatoire de Paris.
 
Je travaille aujourd’hui à la fois comme interprète et assistante à la composition de musiques avec dispositif électronique, mais j’ai également une activité de recherche dans le domaine de la conservation et la pérennisation de ce type de répertoire. Être passée par l’Ircam m’a permis de comprendre tous les enjeux liés à cette musique.

J’ai choisi le master ATIAM pour son aspect multidisciplinaire et la possibilité d’être exposé à de nombreux domaines autour de l’acoustique musicale et du traitement du signal notamment.
 
Le master ATIAM m’a permis de rencontrer de nombreuses personnes passionnées (autant du côté des personnes enseignantes que des collègues de promo 😊) avec qui j’ai pu garder des liens après la formation ATIAM.
 
Après  ma formation, j’ai poursuivi en doctorat à l’École Polytechnique sur la qualité sonore de haut-parleurs électrodynamiques puis suis parti au Québec à l’Université de Sherbrooke (UdeS) en post-doctorat sur des problématiques de contrôle actif de bruit. Je suis maintenant professeur au département de Génie mécanique de l’UdeS et membre du Centre de Recherche Acoustique Signal Humain.

La formation m’a permis d’unir mon parcours technique avec la pratique créative et de trouver ma voie dans le secteur des médias et de l’audiovisuel.
Atiam m’a aussi permis de comprendre que je n’étais pas fait pour la recherche…! Lors de la soutenance du projet d’acoustique, une débâcle, le jury m’a demandé ce que je faisais là et pourquoi je n’étais pas en école de commerce. J’ai par la suite évolué progressivement vers une fonction plus commerciale tout en conservant les qualités de la formation scientifique; le jury avait donc raison.

J’ai choisi de faire ATIAM car je souhaitais comprendre les enjeux scientifiques et techniques de la création musicale contemporaine.
 
La formation m’a apporté une capacité à articuler différents points de vue sur le son : comme vibration pour l’acoustique, comme série temporelle pour le traitement du signal, comme évènement pour l’informatique, comme stimulus pour les sciences cognitives, et ainsi de suite.
 
Après ATIAM, j’ai effectué mon doctorat à l’École normale supérieure sous la direction de Stéphane Mallat. Je suis ensuite parti au Music and Audio Research Lab de l’université de New York en tant que chercheur postdoctoral. Depuis mon retour en France, je suis chargé de recherche au CNRS. Mon travail de recherche vise à développer de nouveaux outils en traitement du signal et apprentissage automatique pour l’écoute artificielle, avec deux applications privilégiées : la bioacoustique et la musique par ordinateur.

J’ai choisi le master Atiam car cette formation conciliait mon double projet de vie autour de la musique et de la science.
 
Je n’ai pas été déçu, car au cours de cette année intense, j’ai été plongé dans un environnement stimulant, intellectuellement et culturellement, où j’ai pu faire de belles rencontres dans l’équipe pédagogique comme parmi mes camarades de promotion. J’ai été initié à des aspects de la musique du XXème siècle avec lesquels j’étais peu familier, et j’ai pu découvrir les équipements hors du commun de l’Ircam pour la musique d’aujourd’hui et de demain. J’ai reçu une formation en traitement du signal audio d’une qualité exceptionnelle ainsi que de solides bases en prise de son, en acoustique des instruments de musique et en informatique musicale.
 
Après Atiam, j’ai fait une thèse dans le domaine de l’ingénierie acoustique appliquée à la défense, tout en continuant de me professionnaliser en musique.

Dès le début de mes études supérieures, à orientation fortement scientifique et technique, je savais que mon objectif était de lier sciences et création artistique musicale. ATIAM est une formation permettant d’acquérir des compétences résolument techniques mais appliquées au domaine musical, ce qui correspondait parfaitement à mon profil.

Ce que je garde le plus en mémoire de cette année de master : la richesse des cours (accompagnée de quelques nuits très courtes). L’approche tri-disciplinaire m’a poussé à approfondir des matières que je n’aurais sinon pas explorées plus que les cours généralistes d’école d’ingénieur (je pense notamment à l’acoustique), et m’a permis d’ajuster mes choix d’orientation (je pensais jusque là m’orienter dans le traitement du signal, mais j’ai découvert tout le potentiel de création artistique en IA audio pendant les 6 mois de cours). J’ai pu réaliser mon stage dans ce domaine (l’IA audio) à l’Ircam, stage qui m’a énormément appris sur le domaine, sans lequel je n’aurais pas eu les compétences nécessaires à mon poste actuel à Ircam Amplify. Enfin, ATIAM m’a permis, en tant qu’ingénieur, de me rapprocher du monde de la recherche, qui me tient particulièrement à cœur. Amplify représente pour moi l’équilibre parfait entre recherche et industrie.

En conclusion, je ne peux que recommander ATIAM pour les passionné(e)s de sciences et d’audio, vous y trouverez forcément votre compte ! 🙂

Après plusieurs années dans le domaine de la post-production TV, j’avais envie à la fois de me recentrer sur le son (ma formation d’origine), et de me réorienter vers une activité professionnelle laissant plus de place à l’innovation. J’ai donc décidé de reprendre mes études.
 
Une connaissance m’a parlé du master ATIAM, dont le descriptif m’a immédiatement plu : une formation scientifique pluridisciplinaire autour de la musique, fortement orientée recherche, qui plus est hébergée à l’Ircam. Ma candidature a été retenue, mais plus de dix ans après mon dernier cours magistral, la pente m’a d’abord paru raide. Les cours du premier semestre vont vite, la quantité d’informations nouvelles est importante et le niveau scientifique est élevé. Heureusement, la taille humaine des promotions, la variété des projets de groupe, la bienveillance de l’équipe pédagogique et l’émulation dont on bénéficie à l’Ircam sur le plan scientifique et musical, m’ont autant encouragée que stimulée. Je me suis finalement sentie à ma place, au point d’y rester trois ans de plus en tant que doctorante dans l’équipe S3AM.
 
Aujourd’hui, je développe pour UVI des plugins d’effets utilisés par de nombreux professionnels de la musique, et j’ai été invitée à mon tour à donner des séminaires à l’Ircam et ailleurs.
ATIAM a donc très largement rempli sa mission !

Ce que je retiens de la formation :
– les gens que j’y ai rencontrés (avec qui je garde des contacts)
– les cours, le parcours varié
– le stage, avec des expérimentations avec des pianistes et des auditeurs
– la possibilité d’assister à des concerts
– le fait de nos « origines » diverses était très riche
– le lieu : Ircam, fontaine Niki de Saint Phalle, Centre Pompidou…super environnement


Ce que la formation m’a apporté :
– une première expérience de recherche en laboratoire
– la découverte de l’analyse sensorielle
– une compréhension de phénomènes sonores : bonnes bases scientifiques
– un réseau de contacts dans le domaine

Après le Master, j’ai fait une thèse en conception de produits : prise en compte des perceptions en conception de produits, application aux instruments de musique de type cuivre. Aujourd’hui, je suis Professeur des universités à l’Ecole Centrale de Nantes et Directrice adjointe. En enseignement, je m’occupe du cours de Création Sonore, ingénierie du besoin, eco-conception. En recherche, je travaille sur la prise en compte des perceptions (notamment sonore) en conception de produits.

Comme 90% des élèves ATIAM, ce master représentait à l’époque une occasion unique de faire le lien entre mon cursus scientifique et mon intérêt pour le son et la musique. Ce fut pour moi une année très particulière, où chaque matière ouvrait les portes d’un nouvel horizon scientifique ou musical.
 
J’ai eu la chance de faire mon stage avec Gaël Richard dans le laboratoire LTCI de Telecom ParisTech. A cette l’époque l’IA était encore largement de l’ordre de la science-fiction, personne ne connaissait le deep learning, et le machine learning commençait à porter ses fruits dans le domaine de l’analyse automatique de l’audio. J’ai pu faire une thèse CIFRE en entreprise dans ce domaine, sous la direction de Gaël Richard, au département informatique de la radio RTL qui lançait un grand chantier de numérisation de ses archives. J’ai par la suite vécu la révolution qu’a apporté le deep learning dans ce domaine qui n’était quelques années auparavant qu’une niche de laboratoire, et ai continué ma carrière dans la tech liée à l’audio (Spotify, SoundHound AI).
 
Le master ATIAM a eu un impact majeur sur ma carrière, par le réseau qu’il m’a apporté et les portes qu’il m’a ouvertes dès mon stage de fin de master. Celui-ci, qui s’est prolongé par une thèse, m’a tout de suite faire prendre pied dans l’écosystème dans lequel j’évolue encore aujourd’hui. J’ai passé ma vie professionnelle à croiser des anciens élèves ATIAM occupant des postes passionnants, ce qui m’a toujours confirmé que ce master est une formation d’excellence dans notre domaine. Enfin, le master ATIAM a également pour moi été la découverte du monde de la recherche et de son exigence.

J’ai choisi ATIAM parce que je souhaitais marier mes connaissances musicales et mon côté scientifique.

Mon année de master a été de loin ma meilleure année d’études. Le côté pluridisciplinaire a été un gros challenge pour moi mais j’ai énormément appris des cours, de l’équipe et de mes camarades qui venaient de parcours et spécialités différentes. Je n’avais quasiment jamais fait de traitement de signal ou d’informatique alors que c’est aujourd’hui 80% de mon activité.

J’ai eu un parcours un peu plus chaotique ensuite. Je ne voulais pas faire de thèse (malgré un financement) et ai été 2 ans ingénieur informaticien en SSII dans le secteur bancaire, ce qui ne m’a pas plu du tout. 
J’ai très vite monté mon entreprise d’instruments virtuels. Je me suis d’abord limité à de la prise de son, dont j’ai appris les bases en ATIAM dans un cours qui m’a beaucoup marqué, et à de l’échantillonnage, appris en autodidacte. J’ai réalisé le « IRCAM prepared piano” en partenariat avec l’Ircam et UVI. J’ai petit à petit intégré mes connaissances d’ATIAM pour arriver aujourd’hui à des instruments virtuels très réalistes mélangeant modélisation et sampling.

L’un de mes meilleurs amis aujourd’hui était mon voisin de table le premier jour en ATIAM, on y fait donc de belles rencontres ! J’ai aussi rencontré plusieurs alumni dans le cadre du travail.
A chaque fois que je mentionne avoir fait ATIAM, les regards et les attitudes changent immédiatement. Dans le milieu de l’audio, cette formation est vraiment considéré comme l’excellence.